There is always something to upset the calculations more carefully prepared, and this is surely the most unpleasant thing that can exist. Calculate everything is vital.ÂGE : Il va sur ses seize ans. SANG : Pur et très fier de l'être. ORIGINES : Anglaises STATUT CIVIL : Célibataire. Ne s'est jamais attaché à aucune fille, ne ressent rien pour elles à part de l’attirance physique. Il considère que seule celle qui sera digne d'être a ses côtés pour l’éternité méritera qu'il lui porte de l'attention.MAISON : La noble maison Serpentard, dont il porte les couleurs avec beaucoup de fierté. POPULARITÉ : Il fait partit des influents mais, cela est en grande partie dû au fait qu'il est rattaché à l'équipe de Quidditch et au Club de Slugh. Outre cela, on ne peut pas le qualifier comme étant quelqu'un de populaire. En a-t-il quelque chose à faire ? Non.POINTS : 124
Regulus Black
Sujet: Regulus + Rules are made to be followed. Lun 5 Mai - 13:35
REGULUS ARCTURUS BLACK Cinquième année - Serpentard
Nom
Black.
Prénom(s)
Regulus Arcturus.
Age
Quinze ans.
Date et lieu de naissance
Sept août 1961, à Londres.
Statut civil
Célibataire.
Orientation sexuelle
Hétérosexuelle à n'en pas douter.
Statut économique
Riche. Très riche et qui plus est, héritier de la noble famille Black depuis peu, depuis que son aîné s'est fait déshériter.
Nature du sang
Pur.
Avis sur le sang
Fier de son nom, de son sang, il ne peut qu'être pro-pur.
Jauge de popularité
Populaire, il ne l'est pas. Apprécié, peut-être, mais il n'en a que faire. A quoi bon être aimé par des personnes qui ne peuvent rien lui apporter ? Être populaire, aimé de tous est une mauvaise chose, car être apprécié par des gens impurs est mauvais, mais on ne peut contrôler les gens, contrôle leurs pensées, leurs envies, leurs faits et gestes alors, quand bien même aimerait-il n'être populaire que pour les gens importants, il est bien obligé de se résoudre à mettre une note avoisinant les trente pour-cents. Mais cela lui déplaît.
Jauge d'influence
En tant qu'attrapeur de l'équipe de Quidditch et membre de l'honorable Club de Slugh, il se considère influent. Influent lors des matchs, car la victoire repose sur ses épaules. Influent lors des réunions privées de son professeur de potions, car son absence ne serait pas tolérable ou plutôt, il ne serait pas honorable que de priver ces regroupements de sa présence. Ainsi, il pense avoisiner les soixante pour-cents.
Jauge de sociabilité
Définitivement très infime, peut-être dix pour-cents. Il ne va jamais vers les gens, il se contente d'aller vers ceux vers qui il doit aller. Ni plus, ni moins.
Rang dans la hiérarchie Poudlardienne
Il fait partit des influents. Au-dessus de la masse, des gens normaux mais, cela est en grande partie dû au fait qu'il est rattaché à plusieurs choses prestigieuses au sein du château, comme l'équipe de Quidditch et le Club de Slugh. Outre cela, on ne peut pas le qualifier comme étant quelqu'un de populaire. En a-t-il quelque chose à faire ? Non. Définitivement non. La seule admiration dont il a besoin est celle qu'il peut contempler dans les yeux de sa mère.
Renseignements physiques
Dépassant le mètre quatre-vingt, avoisinant les soixante-dix kilos. Ce n'est pas une force de la nature, mais loin d'être un gringalet. Plutôt bien proportionné, un corps bien façonné, un visage aux traits virils mais, relativement délicats. Charmant garçon au regard d'un noir de jet, tatoué à outrance. Trop suivant les dires de certaines connaissances, mais pas déplaisant au regard de sa mère alors, il continu, gravant dans sa peau chaque passage marquant de son existence.
Style vestimentaire
Vêtu de manière très strict, son apparence physique ne détone pas de son mental. Ordonné, toujours propre sur lui avec des chemises bien repassées, quand bien même un brin d’excentricité s'y glisse, comme par exemple avec un col plus ouvert que la normale, mais définitivement rien qui pourrait le faire apparaître comme dévergondé, ou peu soigné.
Niveau scolaire
Bon, souvent même très bon. Il fait partit de ces élèves qui apprennent leurs cours par cœur, au mot près, à la virgule près. Ainsi la théorie lui est aisée, mais il n'en est pas moins doué en pratique, car très habile baguette en main.
Matière(s) préférée(s)
Le cours de potions est celui durant lequel il se sent le mieux, mais sûrement cette préférence est-elle dû au fait qu'il est l'étudiant favori de son professeur. Vision troublée donc, mais même en y réfléchissant longuement il ne saurait trouver d'autres réponses à cette si simple question.
Matière(s) détestée(s)
Divination. Une matière qu'il n'a jamais porté dans son cœur, mais qu'il maudit davantage depuis cette année.
Passion(s)
Avoir une passion voudrait dire, à en suivre la définition exacte, ressentir une émotion très forte allant à l'encontre de la raison. Impossible, impensable pour lui de ressentir une telle effervescence, pas sans qu'elle lui soit dictée.
Secret(s)
Il n'a pas de secrets ou du moins il ne considère pas en avoir, car il n'a de comptes à rendre à personne hormis sa famille et il ne leur cache rien. A part ses rêves, mais ceux-ci sont indépendant de sa volonté alors, il ne considère pas avoir besoin d'en parler, les considérant simplement comme un fardeaux qu'il doit porter seul. Quelque chose que rien ne peu contrôler, par rapport à quoi personne ne peu l'aider.
Baguette
Très rigide, elle est faite en bois de cerisier, mesure vingt-sept centimètres et contient un ventricule de cœur de dragon.
Patronus
Il n'a jamais réussi à en produire un. Sûrement n'a-t-il aucun souvenir assez heureux auquel s'accrocher.
Epouvantard
Il n'a aucune forme à proprement parler. C'est une tache noire, simple, irrégulière sur laquelle s'agite des traits grisâtres. Il n'a jamais essayé d'élaborer quelconque théorie à l’égard de ce spectre qui plusieurs fois lui a fait face, ne voyant pas l'intérêt de mettre un nom sur une crainte qu'il juge comme infondée.
Amortencia
L'odeur planant dans la demeure familiale, celle du bois de cerisier dont est fait sa baguette et une troisième senteur, quelque chose de rassurant mais, qu'il ne saurait décrire, qu'il n'a jamais réussi à décrire.
Miroir du Risèd
Il se voit avec Sirius ou du moins, c'est ce qu'il croit. C'est ce qu'il a cru voir lorsqu'il s'y est regardé, mais il a été incapable de rester face à ce miroir plus de quelques centièmes de secondes.
Avatar
Ash Stymest.
JE PENSE DONC JE SUIS
Divin exutoire. Un monde parallèle, un monde occultant le réel. Un besoin plus qu'une envie. Véritable appétence, sans cela il sombre dans les méandres de l'angoisse, dans la peur des songes. Première prise poussée par les dires d'un ami qui lui promettait que le produit anéantissait les mauvais mirages, les mirages inconscients créés lorsque l'esprit est en sommeil. Il avait raison. Tellement raison. Ces prises devenues régulières, pratiquement constantes, l'ont libéré de ses démons, lui ont redonné un semblant de liberté, l'audace de ne rien craindre d'autre que le manque.
QUI ES-TU ?
Celle qui incarne la reine des rouge et or reviens sous les traits du sexy Ash Stymest Bon bah comme vous le savez déjà, moi c'est Jennifer alias Minie. J'ai toujours vingt-ans et toutes mes dents, j'habite toujours dans l'est de la France et.. LIN C'EST LA VIE
Dernière édition par Regulus Black le Lun 5 Mai - 14:07, édité 1 fois
There is always something to upset the calculations more carefully prepared, and this is surely the most unpleasant thing that can exist. Calculate everything is vital.ÂGE : Il va sur ses seize ans. SANG : Pur et très fier de l'être. ORIGINES : Anglaises STATUT CIVIL : Célibataire. Ne s'est jamais attaché à aucune fille, ne ressent rien pour elles à part de l’attirance physique. Il considère que seule celle qui sera digne d'être a ses côtés pour l’éternité méritera qu'il lui porte de l'attention.MAISON : La noble maison Serpentard, dont il porte les couleurs avec beaucoup de fierté. POPULARITÉ : Il fait partit des influents mais, cela est en grande partie dû au fait qu'il est rattaché à l'équipe de Quidditch et au Club de Slugh. Outre cela, on ne peut pas le qualifier comme étant quelqu'un de populaire. En a-t-il quelque chose à faire ? Non.POINTS : 124
Regulus Black
Sujet: Re: Regulus + Rules are made to be followed. Lun 5 Mai - 13:50
RACONTES-MOI TON HISTOIRE Perfect Heir.
I.
Il aimerait voir les choses avant qu'elles se passent. Il aimerait voir ce que les autres ne voient pas, entendre ce qu'ils n'entendent pas. Ou dans le pire des cas, simplement comprendre au moment où tous comprennent, voir au moment où tous voient, mais ce n'est pas le cas. Non. C'était comme si tout chez ce garçon était à retardement, comme si même face au fait accompli, ses yeux ne s'ouvraient pas. Ne voulaient pas s'ouvrir. Ne savaient comment le faire. Bête, il ne l'avait jamais été, ne le serait sûrement jamais, autant qu'il n'avait jamais manqué de raison. Peut-être en avait-il trop justement, de ce fait son intellect prenait le dessus sur son discernement. Oui, sûrement était-ce cela. Ou du moins ce dont il essayait de se persuader afin de combler cette lacune : ce manque de jugement, cette incapacité à savoir juger, jauger une situation et plus difficile encore, se rendre compte de la gravité d'une situation. Son frère n'était plus là. Sirius était partit et voilà que par la force des choses il se retrouvait premier héritier. Jamais sa mère ne l'avait regardé avec une telle fierté, jamais lui-même ne s'était sentit si maudit. Depuis toujours, il suivait les règles. Depuis toujours, il était le fils prodigue, le fils aimé. Pourtant cadet de la famille, tout avait toujours reposé sur lui. Les espoirs, les rêves de gloire, de grandeur, de prestige. Tout. Il était aimé, oui, mais s'aimait-il seulement lui-même ? Il n'en avait aucune idée, n'y avait jamais songé. Chaque pas, chaque pensées lui étaient dictés et il aimait ça. Oui, il aimait tellement ça que sans cela, il ne savait avancer. Aucun instinct, seulement une vie tracée, élaborée années par années, heure par heure. Un emploi-du-temps qu'il n'avait qu'à suivre. Tout était si facile. Trop facile. Tellement facile que la vision de ce frère absent lui avait semblé être un échec. Cela ne faisait pas partit du plan, il n'avait jamais été question de le voir déserter. Non, ce départ allait tout remodeler, tout remettre en question, quand bien même personne ne s'en rendait compte. Sirius avait-il seulement pensé à son frère en faisait cela ? Jamais. Et Regulus le détestait. Le haïssait comme jamais il n'avait haï le pire de ses ennemis. Il le haïssait de si facilement l'avoir laissé gagner, mais aussi d'avoir saccagé sa vie. Que devait-il faire à présent ? Tout reconsidéré, ou continuer à suivre le plan ? Il n'en avait aucune idée. Que devait-il faire face à se frère absent ? Sa haine envers lui se développait davantage à mesure qu'il se rendait compte que ce départ était définitif. Elle grandissait, imprégnant sa personne à tel point que sûrement jamais il ne pourrait s'en défaire. Oui, il le haïssait, l'avait toujours haï et le détesterait jusqu'à son dernier souffle. Ou peut-être pas, car peut-être que ce départ changeait la donne, peut-être qu'en s’effaçant ainsi de sa vie, il devait être reconsidéré. Ils n'étaient plus frère, définitivement plus, alors leur relation devait-elle changer ? Devait-il a présent réagir face à lui comme il le ferait avec une personne lambda ? Il ne le savait pas et cela le torturait. Et personne ne l'aidait. Non, même sa mère qui n'avait de cesse de le regarder avec fierté ne l'aidait pas. Il était seul et pour la première fois de son existence, il était face à un obstacle. La présence de Sirius ne lui avait jamais fait défaut, cela ne faisait au contraire que renforcé sa confiance, que le placer chaque jour un peu plus haut au-dessus du lot, un peu plus haut dans l'estime de sa mère, mais qu'en serait-il maintenant qu'il n'était plus là ? Sûrement était-ce la personne qui sans le vouloir le tirait vers le haut, mais il était partit. Partit, sans se retourner, laissant son frère hagard, perdu, sans aucun plan à suivre.
II.
Le teint blafard. Un visage creusé, entouré de cheveux d'un noir de jet, mi-long, pas ou peu coiffés. L'homme qui lui faisait face n'était pas attirant. Était loin d'être comme dans les souvenirs qu'il s'était construit avec le temps. Ses yeux noirs aux reflets rougeoyant, comme injectés de sang, soutenait le regard du jeune garçon. Du garçon de quinze ans. De l'héritier de la noble famille des Black. Déstabilisant, inquiétant, mais envoûtant, incitant le respect. Un homme meurtrit faisait face à Regulus, un homme dont le visage reflétait les années de souffrance, de lutte, de bravoure. Un homme imposant par son charisme, imposant par le respect qu'il assujettissait sans même qu'un seul mot ne sorte d'entre ses lèvres. Peu rassurant, mais définitivement attirant. Était-ce cela aimer ? Respecter une personne à tel point qu'on ne saurait en détacher son regard, qu'on ne saurait ne serait-ce que songer à l'éventualité de ne pas lui être entièrement dévoué ? Non, ce n'était sûrement pas ça, mais sûrement cela s'en rapprochait-il. L'héritier détourna son regard vers sa mère et de par le regard qu'elle posait sur ce maître qui partageait leur table, il ne pouvait qu'être conforté dans l'idée que cet homme était celui qu'il fallait écouter. Était celui qu'il fallait suivre, pour le bien de tous. Pour que rien ne change, pour que soit fait ce qui devait être fait. Alors, il répondait par la positive à chaque question et à chaque mot prononcé, il était plus heureux. Oui, heureux, car c'était là qu'il devait d'être, cela qu'il fallait qu'il face. Heureux que tout ce passe bien, que les choses suivent leur court ou plutôt, qu'elles redeviennent à la normale. Rassuré, car il retrouvait une attache, quelqu'un à suivre, qui lui dicterait le bon chemin pour être aimé, pour que la fierté dans le regard de sa mère ne s’estompe jamais. Il ne devait plus briller par sa différence, mais s'imposer par sa présence. Il ne devait plus être meilleur par rapport à quelqu'un, mais l'être pour quelqu'un. C'était différent, mais tout aussi stabilisant. Et la stabilité était définitivement la seule chose dont il avait besoin pour exister.
III.
Il marchait, sans pouvoir s'arrêter, vers cette étendue d'eau qu'il savait dangereuse. Dont il était conscient qu'il ne devait pas s'approcher. Pourquoi le faisait-il ? Il y était obligé. Poussé, comme par une force qu'il ne pouvait contrôler. Ses instincts ne réagissait plus, ou du moins c'est ce qu'on aurait pu croire, puisqu'en réalité tout allait pour le mieux. Physiquement, il était en parfaite santé. Mentalement, il se sentait reposé. Serein, confiant, déterminé. Alors il avançait, il avançait sans s'arrêter, quand bien même cette marche serait la dernière. Quand bien même l'obscurité de cette étendue d'eau n'inspirait que danger. Non, danger n'était pas le mot, mais il était peu aisé de décrire l'impression qui s'en dégageait. Contradictoire. Trop contradictoire. Il savait qu'à chaque pas effectué il s'approchait davantage du dernier. De l'aboutissement de son existence, de la fin d'une vie que sûrement il aurait espéré plus longue, mais il marchait toujours. Oui, il marchait, conscient que ces derniers mètres seraient les dernier. Souvent, les gens qui étaient sur le point de passer l'arme à gauche avaient peur, étaient épris de maintes émotions successives, ne savaient comment réagir face à la mort qui leur tendait les bras. Oui, les gens étaient comme ça. Regulus ne l'était pas. Alors il marchait. Plus que trois mètres le séparait de sa fin. Deux. Un. Il pouvait à présent sentir l'eau glacée lui entourer les chevilles. Les genoux. La taille. Quelque chose l'attirait toujours plus loin, comme si des mains le menaient vers le fond, mais il n'y avait rien. Seulement lui. Lui et son devoir. Il devait le faire, alors il avançait. Il avançait, jusqu'à ce que de lui on ne voit plus rien si ce n'était quelque bulle qui remontaient à la surface, démontrant que l'air présent dans ses poumons se vidait peu à peu. Calme, reposé. Oui, il l'était, alors que son dernier souffle de vie s'évadait de lui, l'attirant vers le fond sans qu'il puisse y faire quoi que ce soit. Conscient, définitivement lucide, il se laissait emporter. Ses paupières se fermaient peu à peu, amoindrissant sa vision, lui laissant pour seule compagnie le néant. Sûrement aurait-il aimé voir, mais y avait-il seulement quelque chose d'autre à voir que la noirceur qu'offrait cette étendu d'eau ? Si paisible en apparence. Oui, si paisible, tellement paisible, qu'il s'en alla serein.
En sueur, presque trempé de sueur, il se relevait à présent. Le souffle coupé, le regard vague. Une nouvelle fois, ses songes avaient eu raison de lui, à tel point qu'il mit plusieurs minutes à se rendre compte de l'endroit où il était. Son lit. Sa chambre, Square Grimmaurd. « Vous allez bien, maître ? » Non, il n'allait pas bien. « Oui, je vais bien. » Kreattur, si dévoué, le regardait avec inquiétude, presque pitié. Une telle charité était présente dans le regard vitreux de l'elfe que Regulus préféra rapidement détourner le regard. Regard qui très vite se posa sur sa table de chevet. Un joint, à demi fumé, qu'il saisit et ne tarda pas à allumer. Se découvrant de ses couvertures, il sortait à présent de son lit afin de gagner la fenêtre de sa chambre. D'un geste précis, presque machinal, instinctif, il l'ouvrait et laissait s'y échapper une fumée blanche et opaque. Satisfait. C'était comme si cette fumée représentait ses songes. Songes qui s'échappaient de son corps à mesure que le produit se consumait.