La veille, les quatre Maraudeurs ont organisé à la lisière de la forêt interdite une grande fête de début d'année. Le drogue et l'alcool étaient évidement au rendez-vous, et à cause des abus, une jeune fille du nom de Solande Gallagher, Gryffondor de sixième année, est morte.

Dans sa tour d'ivoire, Dumbledore réfléchissait. Il ne savait pas comment les choses avaient pu dégénérer à ce point. Comment il avait pu laisser la situation s'envenimer comme ça. Lui qui pensait avoir laisser Poudlard en de bonnes mains, alors qu'il avait tant à faire. Il comprenait aujourd'hui son erreur, et ne la referait pas deux fois. Un elfe de maison apparut, tremblotant de peur qu'il se déchaîne sur lui. « Monsieur, le dîner va être servie. » Il se retourna vers lui, un sourire amical sur les lèvres, il n'arrivait pas à saisir ses créatures, pourquoi leur soumission restait si chère à leur yeux, et pourquoi n’embrasaient-ils pas la liberté si rare qu'on leur accordait ? « Je descend, Pimby. »

La salle était pleine. Les élèves, curieusement, contrairement à leur habitude, ne parlaient pas. Ils étaient silencieux, dociles. Peut-être choqués de leur nuit dernière. Il ne pouvait pas leur être compatissant. Ils y étaient allés, ils y étaient tous rendus les yeux explosés, les veines acidifiés, et avaient joui de cette fête sans s'attarder une seule seconde sur les conséquences. Dumbledore s'avança, s'installant devant le podium, ses mains durement incrustées dans le bois. « Mes chers élèves, après les événements d'hier soir, je ne peux que venir ici, et vous parler pour vous exprimer ma plus grande déception.  Vous êtes les sorciers de demain. Vous êtes l'avenir. Et vous en avez la responsabilité. Vous seuls pouviez choisir de ce qui vous attendrait demain, et voyez ce que vous en avez fait. Aujourd'hui nous nous levons sans une des nôtres. Aujourd'hui nous nous levons avec le doute que parmi nous quelqu'un a souillé notre maison, notre havre de paix. Ce lieu que nous pensions protéger du mal. Mais le mal n'est pas entré seul. La porte lui a été ouverte. Et les conséquences de cela, retomberons sur vos épaules. A partir de maintenant, un couvre-feu est instauré, une fouille des dortoirs sera effectuée, et une enquête menée pour amener devant la justice celui ou celle qui a fait atteinte à notre école, et à Solange Gallagher. Accordons-lui deux minutes de silences, et prions pour que demain, vous preniez conscience de la gravité de vos actes. » Il se tut, intimant du regard des souffrances terribles à quiconque qui oserait parler. Rares étaient les fois où le directeur était inquiet, mais uniques étaient celles où il était furieux.

→ Premièrement, un couvre-feu est installé, tous les élèves surpris hors de leur dortoir après 22h00 seront sévèrement punis.
→ De nombreuses fouilles sont organisées dans les dortoirs, les fabricants et trafiquants de drogue doivent se montrer ingénieux pour garder leurs précieux produits.
→ Les heures de colle tombent plus facilement, les professeurs ont été choqués de la gravité du meurtre de Solange et se montrent très durs envers les élèves, ils les ont déçus.
→ Certains pourront sûrement se remettre en question vis-à-vis de la drogue, essayer de moins consommer, ou d'autres au contraire, en voyant les professeurs se montrer de plus en plus méfiants, en prendre davantage, pour toujours être encore plus contre le règlement, par simple opposition à l'autorité des adultes.

seize ans. anglaise. Née-moldue. elle n'avait rien contre les sang purs, bien qu'elle fut brutalisée ses premières années à cause de la couleur de sa peau et de sa nature du sang. douce, naïve, pétillante, joyeuse, rêveuse, gentille, appréciable, maladroite, sans tact, timide, faible, peu résistante à la pression. moyenne, elle était une fille appréciée mais assez discrète. elle aurait un mauvais penchant pour la bouteille, elle aurait fait une sextape. elle est sortie avec sirius black durant sa quatrième année, elle était quelqu'un de très calme sauf en soirée, elle était une très grande consommatrice de drogue, elle fut initiée par sirius, elle était très fragile, et souvent déprimée les quelques semaines avant sa mort, elle s'était éloignée de ses amies, et parlait à très peu de personnes depuis quelques jours.